AUTEUR : dentzer-(j-m)
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Recherches syro-franco-allemandes, 1998-2008., Mikaël Kalos, Sébastien Lepetz, Heike Richter, Jérôme Rohmer, Tristan Yvon et Thomas M. Weber-Karyotakis. Auteurs : DENTZER-FEYDY (J.), DENTZER (J.-M.), RENEL (F.), SARTRE-FAURIAT (A.) Collection : Bibliothèque archéologique et historique (BAH) Tome : 209 ISBN : 978-2-35159-729-3 Prix : 72 €
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DescriptionSous la direction de Jean-Marie Dentzer et Thomas Maria Weber-Karyotakis. Avec les contributions de Christian Augé (†), Jean-Claude Bess ac, Frank Braemer, Gourguen Davtian, Cécile Dumond-Maridat, Odile Duss art, Damien Gazagne Poids : 1741 Lieu de parution : Beyrouth, Presses de l'Ifpo Année de parution : 2017 Reliure : broché Pages : 473
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Depuis le début des explorations archéologiques au début du XXe siècle, Sahr, situé dans la partie nord du désert basaltique du Leja (Syrie du Sud), a paru énigmatique : isolé et peu accessible, ce site n'a pas la structure habituelle d'un village. Un sanctuaire, constitué d'un temple au fond d'une cour à portiques et flanqué d'un petit théâtre, occupe la partie centrale de l'agglomération. Celle-ci comporte une cinquantaine d'unités d'habitation composées de pièces couvertes à l'intérieur d'enclos fermés. Ces pièces, souvent organisées en ensembles mitoyens, ne sont pas fermées, dans leur majorité, mais ouvertes sur l'enclos par une large baie ou par un portique. Ces unités d'habitation ne paraissent pas avoir été construites suivant un plan d'organisation du site. Le sanctuaire, en revanche, de même que le théâtre, semblent bien avoir été conçus suivant un même programme. Contrairement aux restitutions de Butler, cette étude prouve qu'un large adyton voûté s'ouvrait au fond de la cella du temple, suivant un schéma bien attesté dans le domaine cultuel syrien, et qu'un autel maçonné était situé à l'intérieur de la cella. Dans la cour à portiques du sanctuaire était construit un podium qui portait un important groupe sculpté à symbolique religieuse et politique dont Th. M. Weber-Karyotakis a fait l'étude (Hauran IV, vol. 2, 2009). Cet état du sanctuaire date de l'époque d'Agrippa II. Il succède à un premier état partiellement conservé datable du milieu du Ier s. av. J.-C. Ce site ne semble pas avoir bénéficié d'une occupation permanente, mais plutôt d'une occupation saisonnière, sans doute liée aux activités pastorales de populations qui se déplaçaient en fonction des ressources. À ces cycles étaient associées des fêtes religieuses qui donnaient lieu à des rassemblements et des célébrations dans le sanctuaire, le théâtre et les constructions de l'agglomération. L'occupation principale de Sahr al-Leja s'est prolongée du milieu du Ier s. av. J.-C. jusqu'à son abandon presque complet dans la deuxième moitié du IIIe siècle, qui fut suivi d'installations limitées jusqu'à l'époque médiévale. Sahr, located in the northern part of the basalt desert of the Leja (southern Syria), has been an enigma since the first archaeological explorations in the early 20th century: isolated and difficult of access, this site does not look like a normal village. A sanctuary, composed of a temple at the back of a porticoed courtyard and flanked by a small theatre, lies in the centre of a village consisting of about fifty housing units composed of covered rooms in enclosed compounds. These rooms, often arranged in adjoining groups, are generally not closed, but rather, they open onto the enclosure through a wide bay or a portico. These housing units do not appear to have been built according to any kind of site plan. On the other hand, both the sanctuary and the theatre seem to have been conceived as one project. In contrast with Butler's reconstructions, this study shows that there was a large, vaulted adyton at the back of the temple cella, following a layout that is well-attested in Syrian cultic buildings, and that a masonry altar was located inside the cella. In the porticoed courtyard of the sanctuary there was a podium that bore an important group of religiously and politically symbolic sculptures, which have been studied by T. M. Weber-Karyotakis (Hauran IV, vol. 2, 2009). That stage of the sanctuary dates to the period of Agrippa II. It followed an earlier, but only partially preserved, stage dated to the mid-1st century BC. This site does not seem to have been permanently occupied, but rather, a seasonal occupation was no doubt linked to the pastoral activities of people who moved according the resources available. Religious festivals were associated to this cycle, which provided a reason for gatherings and celebrations in the sanctuary, the theatre and the buildings of the settlement. The main occupation at Sahr al-Leja stretches from the mid-1st century BC until its near total abandonment in the second half of the 3rd century AD; a small number of buildings continued until medieval times. | |
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Volume 2. Recherches récentes. Actes du colloque de Damas 2007 Auteurs : Al-MAQDISSI (M.), BRAEMER (F.), DENTZER (J.-M.), ISHAQ (E.) Collection : Bibliothèque archéologique et historique (BAH) Tome : 202 ISBN : 978-2-35159-391-2 Prix : 48 €
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DescriptionPoids : 920 Lieu de parution : Beyrouth Année de parution : 2013 Reliure : broché Pages : 232
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Ce volume contient ente autre les résumés des contributions/Abstract/résumé en arabe du volume 1 parus sous le numéro BAH n°191. Après une phase d'exploration très fructueuse, à la fin du XIXe et au début du XXe siècle, suivie d'une longue période de désintérêt de la part de la communauté scientifique, les études archéologiques dans le Hauran et les régions environnantes ont repris en 1974. La publication du recueil Hauran I (1985-1986), puis celle des actes du colloque réuni à Suweida en 1990 par la DGAMS (1997), faisaient connaître un ensemble de contributions pluridisciplinaires qui dressait un état des connaissances et relançait les principaux corpus et inventaires en cours portant sur l'épigraphie, l'architecture et la céramique régionales. En 2007, le colloque de Damas a montré d'abord combien se sont multipliées les interventions sur le terrain, qu'il s'agisse d'études de site ou de programmes thématiques régionaux. Les projets Balnéorient et Atlas des sites pré- et protohistoriques de Syrie du Sud ou encore l'inventaire des maisons villageoises d'époque romaine permettent ainsi d'aborder de manière nouvelle, sur la longue durée, les questions de l'occupation du sol et du développement local, de l'urbanisme et de l'architecture. Des corpus d'études sur les périodes pré- et protohistorique ont aussi été constitués. En une vingtaine d'années, on est passé de la collecte d'informations relativement ponctuelles, recueillies sur des sites éloignés les uns des autres, à une recherche de terrain plus dense et systématique, fouilles et prospections confondues, dont les résultats permettent de donner aujourd'hui à la Syrie du Sud une place tout à fait significative, à l'échelle du Levant Sud, de la période natoufienne à l'âge du Fer. Pour les époques hellénistique, romaine et byzantine, les études archéologiques et d'histoire régionale, conduites sur la longue durée, portent toujours sur le contexte de l'occupation humaine, rurale ou urbaine. Elles abordent la question des ressources offertes par le milieu géographique, de son ouverture à différents groupes de population et des interactions qui en résultent : conflits territoriaux, échanges commerciaux à longue distance, établissement d'itinéraires caravaniers qui peuvent susciter le brigandage. Des réponses neuves sont apportées à des questions ouvertes depuis la reprise des recherches sur la région. On perçoit mieux maintenant la transition entre l'âge du Fer et la nouvelle phase de développement qui débute à l'époque hellénistique. À partir de l'époque nabatéenne, puis pour l'époque romaine, le répertoire des décors architecturaux, confrontés à d'autres données de nature épigraphique ou archéologique, constitue localement un marqueur chronologique précis. Le corpus régional des arts plastiques apporte de nouvelles bases à son interprétation. Dans les sanctuaires, des fouilles révèlent l'organisation du culte et des pratiques rituelles. Notre connaissance et notre interprétation des villes et des agglomérations sont désormais éclairées par la prise en compte du développement urbain sur une durée plus longue que la période dite « classique ». Ce volume aborde ainsi de manière renouvelée l'histoire de la Syrie du Sud sur la très longue durée : particularismes régionaux et forte intégration à l'ensemble géographique et culturel du Levant Sud en sont les deux traits majeurs et parfois paradoxaux. |
Sommaire Sommaire détaillé | |
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Recherches récentes. Actes du colloque de Damas 2007. Auteurs : Al-MAQDISSI (M.), BRAEMER (F.), DENTZER (J.-M.) Collection : Bibliothèque archéologique et historique (BAH) Tome : 191 ISBN : 978-2-35159-179-6 Prix : 80 €
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DescriptionTextes édités par Jacqueline Dentzer-Feydy et Michèle Vallerin. Poids : 2414 Lieu de parution : Beyrouth Année de parution : 2010 Reliure : broché Pages : 574
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Après une phase d'exploration très fructueuse, à la fin du XIXe et au début du XXe siècle, suivie d'une longue période de désintérêt de la part de la communauté scientifique, les études archéologiques dans le Hauran et les régions environnantes ont repris en 1974. La publication du recueil Hauran I (1985-1986), puis celle des actes du colloque réuni à Suweida en 1990 par la DGAMS (1997), faisaient connaître un ensemble de contributions pluridisciplinaires qui dressait un état des connaissances et relançait les principaux corpus et inventaires en cours portant sur l'épigraphie, l'architecture et la céramique régionales. En 2007, le colloque de Damas a montré d'abord combien se sont multipliées les interventions sur le terrain, qu'il s'agisse d'études de site ou de programmes thématiques régionaux. Les projets Balnéorient et Atlas des sites pré- et protohistoriques de Syrie du Sud ou encore l'inventaire des maisons villageoises d'époque romaine permettent ainsi d'aborder de manière nouvelle, sur la longue durée, les questions de l'occupation du sol et du développement local, de l'urbanisme et de l'architecture. Des corpus d'études sur les périodes pré- et protohistorique ont aussi été constitués. En une vingtaine d'années, on est passé de la collecte d'informations relativement ponctuelles, recueillies sur des sites éloignés les uns des autres, à une recherche de terrain plus dense et systématique, fouilles et prospections confondues, dont les résultats permettent de donner aujourd'hui à la Syrie du Sud une place tout à fait significative, à l'échelle du Levant Sud, de la période natoufienne à l'âge du Fer. Pour les époques hellénistique, romaine et byzantine, les études archéologiques et d'histoire régionale, conduites sur la longue durée, portent toujours sur le contexte de l'occupation humaine, rurale ou urbaine. Elles abordent la question des ressources offertes par le milieu géographique, de son ouverture à différents groupes de population et des interactions qui en résultent : conflits territoriaux, échanges commerciaux à longue distance, établissement d'itinéraires caravaniers qui peuvent susciter le brigandage. Des réponses neuves sont apportées à des questions ouvertes depuis la reprise des recherches sur la région. On perçoit mieux maintenant la transition entre l'âge du Fer et la nouvelle phase de développement qui débute à l'époque hellénistique. À partir de l'époque nabatéenne, puis pour l'époque romaine, le répertoire des décors architecturaux, confrontés à d'autres données de nature épigraphique ou archéologique, constitue localement un marqueur chronologique précis. Le corpus régional des arts plastiques apporte de nouvelles bases à son interprétation. Dans les sanctuaires, des fouilles révèlent l'organisation du culte et des pratiques rituelles. Notre connaissance et notre interprétation des villes et des agglomérations sont désormais éclairées par la prise en compte du développement urbain sur une durée plus longue que la période dite " classique ". Ce volume aborde ainsi de manière renouvelée l'histoire de la Syrie du Sud sur la très longue durée : particularismes régionaux et forte intégration à l'ensemble géographique et culturel du Levant Sud en sont les deux traits majeurs et parfois paradoxaux.
Nach einer Phase fruchtbarer Forschungen am Ende des 19. und zu Beginn des 20. Jhs. wurden die archäologischen Studien im Hauran und angrenzender Gebiete 1974 nach einer langen Pause wieder aufgenommen. Der Band Hauran I, erschienen 1985 und 1986, sowie die Akten eines von der Direction Générale des Antiquités et des Musées de la Syrie 1990 in Suweida organisierten Kolloquiums veröffentlichten pluridisziplinäre Beiträge, die den damals aktuellen Wissenstand widerspiegelten. Sie setzten Maßstäbe für die wichtigsten Corpora und Inventare auf den Gebieten der Inschriftenkunde, der Architektur und der Kleinkunst dieser Region. Das 2007 in Damaskus veranstaltete Kolloqium zeigte in erster Linie die Entwicklung von Forschungsprogrammen und von Diskussionsbeiträgen auf, die sich sowohl in monographischen Studien zu den wichtigsten Antikenstätten als auch in thematischen, regional gebundenen Forschungsansätzen niederschlugen. Reiche Befunde aus den vor- und frühgeschichtlichen Perioden wurden erhoben. Über zwei Jahrzehnte hinweg ist man von relativ punktuellen Informationen zu Stätten, die weit voneinander entfernt liegen, zu einer Dichte von Feldstudien, Ausgrabungen und Prospektionen gelangt, die es erlaubt, Südsyrien einen signifikanten Platz in der südlichen Levante von der natufischen Periode bis zur Eisenzeit einzuräumen. Archäologische und historische Regionalstudien stellten fortgesetzt in der hellenistischen, römischen und byzantinischen Epoche die Frage nach menschlichen Siedlungsformen in Stadt und Umland. Diese liegen in einem geographischem Raum mit substanziellen Ressourcen, der unterschiedlichen Volksgruppen offenstand. Diese waren Konflikten untereinander ausgesetzt oder betrieben Fernhandel. Seit der Wiederaufnahme der Forschungen wurden neue Antworten auf offene Fragen gefunden. So etwa versteht man heute den Übergang zwischen der Eisenzeit und jener neuen Entwicklung besser, die den Beginn der hellenistischen Epoche markiert. In der nabatäischen und römischen Zeit führt die Bauplastik, zusammen mit Ergebnissen der epigraphischen und archäologischen Forschung, zu chronologischen Meilensteinen für die Region. Die Bildende Kunst trägt neue Indizien für Interpretationen bei. Ausgrabungen in Heiligtümer liefern Informationen über die Organisation von Kulten und über rituelle Praktiken. Die Entwicklung und Interpretation von Städten und dörflichen Siedlungsformen dieser Region können nunmehr klarer gefaßt werden, da sie über einen längeren Zeitraum als eben ausschließlich in den "klassischen Perioden" untersucht wurden. Der vorliegende Band wirft ein neues Licht auf die sehr lange Geschichte Südsyriens. Regionale Persistenz und zugleich eine starke Integration innerhalb der geographischen und kulturellen Welt der südlichen Levante sind die beiden wichtigsten, manchmal auch widersprüchlichen Elemente dieser Geschichte.
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Sommaire Sommaire détaillé Extrait du sommaire : Introduction — Le milieu — La Préhistoire — Les agglomérations urbaines et rurales — Les sanctuaires — Les aménagements hydrauliques et les bâtiments des eaux — Les nécropoles et monuments funéraires — La sculpture et le travail de la pierre — L'épigraphie — Les monnaies et les objets métalliques — La céramique — Index des sites — Index des toponymes de la carte de Syrie du Sud. Les résumés des contributions/Abstract/résumé en arabe de ce volume seront placés dans le volume 2 (BAH n°202.) | |
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Recherches syro-européennes 1998-2008/Syrisch-Europäische Forschungen 1998-2008. Auteurs : DENTZER (J.-M.), WEBER (T. M.) Collection : Bibliothèque archéologique et historique (BAH) Tome : 184 ISBN : 978-2-35159-146-8
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DescriptionPoids : 1305 Lieu de parution : Beyrouth Année de parution : 2009 Reliure : broché Traduit par : WEBER (Thomas Maria) Traduit du : français
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Fait unique dans l'histoire des sculptures en basalte de Syrie du Sud, cette publication présente un ensemble cohérent de statues syro-romaines trouvées dans cette région. Situé au coeur du plateau basaltique aride du Ledja (ancienne Trachonitide), le sanctuaire a conservé un nombre important de statues appartenant probablement à sa seconde période de construction. Les fragments récoltés durant les fouilles de la mission syro-européenne, depuis 1998, ont permis la reconstitution d'un groupe de sculptures, anciennement érigées sur un podium cubique sur le parvis du temple. Des indications iconographiques, stylistiques et historiques permettent de dater l'ensemble des deux dernières décennies du Ier siècle apr. J.-C., sans doute dans le cadre du règne dans la région des dynastes orientaux, clients de Rome. Les trouvailles de Sahr permettent d'identifier plusieurs groupes de statues dans les régions historiques de la Syrie du Sud : plus de 30 lieux de trouvailles se répartissent entre la Gaulanitide à l'ouest, la Batanée, la plaine de l'Auranitide et le Djebel al-Arab à l'est. Le rayonnement culturel de cette région, située à la croisée d'intérêts hérodiens, nabatéens et syroaraméens, la largement dépassé ses frontières. Le commerce à longue distance, avec ses routes transcontinentales, semble avoir porté les modèles syriens jusqu'en Arabie du Sud, où l'on retrouve des exemples de ses motifs iconographiques.
Erstmalig in der Forschungsgeschichte der kunsthistorisch schwer faßbaren südsyrischen Basaltplastik wird mit vorliegender Publikation ein in sich geschlossener Fundkomplex vorgelegt. Aufgrund seiner abgeschiedenen Lage inmitten des Basaltplateaus al-Ledja (antik: Trachonitis) hat sich in dem Heiligtum von Sahr ein umfangreicheres Skulpturenensemple erhalten, das mit an Sicherheit grenzender Wahrscheinlichkeit der Ausstattung des dortigen Tempels in seiner zweiten Nutzungsphase diente. Die während der syrisch-französisch-deutschen Gemeinschaftsgrabung in den Jahren ab 1998 geborgenen Skulturenfragmente ermöglichen die Rekonstuktion einer Figurengruppe, die im Vorhof des Tempels auf einem kubischen Podium aufgestellt war. Ikonographische, stilistische und historische Indizien legen eine Datierung in die beiden letzten Jahrzehnte des 1. Jahrhunderts n. Chr. nahe und stellen eine Verbindung mit den orientalischen Klienteldynasten Roms, den Herodiern und Nabatäern, her, die in dieser Zeit über die Region herrschten. Die Funde aus Sahr ermöglichten die Identifikation identischer oder ähnlicher Skulpturengruppen in den historischen Landschaften Südsyriens. Die mehr als 30 Fundorte verteilen sich auf die Gaulanitis im Westen, die Batanaea und Trachonitis sowie auf die Aurantinis mit dem Djebel al-'Arab im Osten. Die kulturgeschichtliche Ausstrahlung reichte weit über dieses Gebiet sich kreuzender herodischer, nabatäischer und syrischaramäischer Interessen hinaus: Einzelne Bildmotive in Südarabien rezipieren offenbar diese Vorbilder im Süden Syriens. Sie scheinen über den Fernhandel auf den transkontinentalen Karawanenwegen vermittelt worden zu sein.
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SommaireVorbemerkung — Einleitung : Die südsyrische Basaltplastik.- Das Heiligtum von Sahr - Die Skulpturen aus Sahr — Die Statuengruppen auf dem Podium : Die Westseite - Die Nike-Pfeiler - Die Ostseite — Nicht zum Podium gehörige Statuen : Die Kultbildgruppe - Statuen im architektonischen Kontext - Statuarische Weihgeschenke — Vergleichbare Statuendenkmäler in Südsyrien : Einleitung - Die Trachonitis - Die Batanaea - Die Auranitis - Die Gaulanitis - Denkmäler unbekannter Fundorte — Die Rezeption südsyrischer Statuengruppen in Altsüdarabien : Einleitung - Die Statuengruppe in Shabwa - Das Relief aus dem Wadi Abadân - Ein Marmorlöwe aus Südarabien — Katalog der Skulpturen aus Sahr : Zum Podium gehörige Skulpturen - Nicht zum Podium gehörige Skulpturen — Ergebnisse und Ausblick : Ergebnisse - Ausblick : Planung der zukünftigen Präsentation — Résumé / Summary : Register
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