AUTEUR : SARTRE-FAURIAT (A.)
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Tome 1 : Qanawāt et la bordure nord du jebel al-‘Arab ; Tome 2: Suwaydā et la bordure ouest du Jebel al-‘Arab. Auteurs : SARTRE FAURIAT (A.), SARTRE (M.) Collection : Bibliothèque archéologique et historique (BAH) Volume : 219 Tome : 220 | En savoir plus...
DescriptionInscriptions grecques et latines de la Syrie tome XVI - vol.1 et 2.
2 volumes de 352p. et 240p. Dimensions : 22 × 28 × 3,5 cm Poids : 2270 Lieu de parution : Beyrouth, Presses de l'Ifpo Année de parution : 2020 Reliure : broché Pages : 592
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Tome 1 : L’importante cité de Canatha (Qanawāt) et le sanctuaire voisin de Seeia (Sī‘), avec la dizaine de villages qui leur sont proches, ont livré de nombreux témoignages de l’Antiquité. Plus de 300 inscriptions grecques et latines, entre le iie siècle avant notre ère et le viie siècle de notre ère, illustrent les préoccupations et les croyances des populations de l’Auranitide antique. Invocations et offrandes aux dieux, constructions publiques et privées, honneurs décernés à des citoyens bienfaiteurs, épitaphes, inscriptions chrétiennes citant des versets bibliques ou commémorant la construction d’églises ne sont que quelques exemples de la variété des textes rassemblés dans ce premier volume du tome 16, consacré au Jebel al ‘Arab actuel.
Tome 2 : La cité antique de Soada–Dionysias (Suwaydā’), et la vingtaine de villages qui occupent la bordure nord occidentale du Jebel al-‘Arab ont livré de nombreux témoignages de l’Antiquité. Plus de 250 inscriptions grecques et latines, entre le ier siècle avant notre ère et le viiie siècle de notre ère, illustrent les préoccupations et les croyances des populations de ce qui constituait l’Auranitide antique. Invocations et offrandes aux dieux, constructions publiques et privées, honneurs décernés à des citoyens bienfaiteurs, épitaphes, inscriptions chrétiennes citant des versets bibliques ou commémorant la construction d’églises ne sont que quelques exemples de la variété des textes rassemblés dans ce volume.
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Recherches syro-franco-allemandes, 1998-2008., Mikaël Kalos, Sébastien Lepetz, Heike Richter, Jérôme Rohmer, Tristan Yvon et Thomas M. Weber-Karyotakis. Auteurs : DENTZER-FEYDY (J.), DENTZER (J.-M.), RENEL (F.), SARTRE-FAURIAT (A.) Collection : Bibliothèque archéologique et historique (BAH) Tome : 209 ISBN : 978-2-35159-729-3 Prix : 72 €
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DescriptionSous la direction de Jean-Marie Dentzer et Thomas Maria Weber-Karyotakis. Avec les contributions de Christian Augé (†), Jean-Claude Bess ac, Frank Braemer, Gourguen Davtian, Cécile Dumond-Maridat, Odile Duss art, Damien Gazagne Poids : 1741 Lieu de parution : Beyrouth, Presses de l'Ifpo Année de parution : 2017 Reliure : broché Pages : 473
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Depuis le début des explorations archéologiques au début du XXe siècle, Sahr, situé dans la partie nord du désert basaltique du Leja (Syrie du Sud), a paru énigmatique : isolé et peu accessible, ce site n'a pas la structure habituelle d'un village. Un sanctuaire, constitué d'un temple au fond d'une cour à portiques et flanqué d'un petit théâtre, occupe la partie centrale de l'agglomération. Celle-ci comporte une cinquantaine d'unités d'habitation composées de pièces couvertes à l'intérieur d'enclos fermés. Ces pièces, souvent organisées en ensembles mitoyens, ne sont pas fermées, dans leur majorité, mais ouvertes sur l'enclos par une large baie ou par un portique. Ces unités d'habitation ne paraissent pas avoir été construites suivant un plan d'organisation du site. Le sanctuaire, en revanche, de même que le théâtre, semblent bien avoir été conçus suivant un même programme. Contrairement aux restitutions de Butler, cette étude prouve qu'un large adyton voûté s'ouvrait au fond de la cella du temple, suivant un schéma bien attesté dans le domaine cultuel syrien, et qu'un autel maçonné était situé à l'intérieur de la cella. Dans la cour à portiques du sanctuaire était construit un podium qui portait un important groupe sculpté à symbolique religieuse et politique dont Th. M. Weber-Karyotakis a fait l'étude (Hauran IV, vol. 2, 2009). Cet état du sanctuaire date de l'époque d'Agrippa II. Il succède à un premier état partiellement conservé datable du milieu du Ier s. av. J.-C. Ce site ne semble pas avoir bénéficié d'une occupation permanente, mais plutôt d'une occupation saisonnière, sans doute liée aux activités pastorales de populations qui se déplaçaient en fonction des ressources. À ces cycles étaient associées des fêtes religieuses qui donnaient lieu à des rassemblements et des célébrations dans le sanctuaire, le théâtre et les constructions de l'agglomération. L'occupation principale de Sahr al-Leja s'est prolongée du milieu du Ier s. av. J.-C. jusqu'à son abandon presque complet dans la deuxième moitié du IIIe siècle, qui fut suivi d'installations limitées jusqu'à l'époque médiévale. Sahr, located in the northern part of the basalt desert of the Leja (southern Syria), has been an enigma since the first archaeological explorations in the early 20th century: isolated and difficult of access, this site does not look like a normal village. A sanctuary, composed of a temple at the back of a porticoed courtyard and flanked by a small theatre, lies in the centre of a village consisting of about fifty housing units composed of covered rooms in enclosed compounds. These rooms, often arranged in adjoining groups, are generally not closed, but rather, they open onto the enclosure through a wide bay or a portico. These housing units do not appear to have been built according to any kind of site plan. On the other hand, both the sanctuary and the theatre seem to have been conceived as one project. In contrast with Butler's reconstructions, this study shows that there was a large, vaulted adyton at the back of the temple cella, following a layout that is well-attested in Syrian cultic buildings, and that a masonry altar was located inside the cella. In the porticoed courtyard of the sanctuary there was a podium that bore an important group of religiously and politically symbolic sculptures, which have been studied by T. M. Weber-Karyotakis (Hauran IV, vol. 2, 2009). That stage of the sanctuary dates to the period of Agrippa II. It followed an earlier, but only partially preserved, stage dated to the mid-1st century BC. This site does not seem to have been permanently occupied, but rather, a seasonal occupation was no doubt linked to the pastoral activities of people who moved according the resources available. Religious festivals were associated to this cycle, which provided a reason for gatherings and celebrations in the sanctuary, the theatre and the buildings of the settlement. The main occupation at Sahr al-Leja stretches from the mid-1st century BC until its near total abandonment in the second half of the 3rd century AD; a small number of buildings continued until medieval times. | |
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Inscriptions grecques et latines de la Syrie tome XIV, fasc. 1 et 2 Auteurs : SARTRE-FAURIAT (A.), SARTRE (M.) Collection : Bibliothèque archéologique et historique (BAH) Tome : 207 ISBN : 978-2-35159-721-7 Prix : 95 €
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Description2 volumes (371p + 336p.). Poids : 2700 Lieu de parution : Beyrouth, Presses de l'Ifpo Année de parution : 2016 Reliure : broché Pages : 707
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Ce volume consacré à la partie occidentale du Hauran regroupe près de huit cents inscriptions, dont plus de quatre cents inédites. La région couverte par la prospection s'étend des limites de la Damascène au nord jusqu'à Der'a et la frontière jordanienne au sud, et entre la voie de chemin de fer Damas-Der'a à l'est jusqu'aux limites du gouvernorat de Qunaytra à l'ouest. Les inscriptions funéraires forment un ensemble particulièrement abondant, avec de très nombreuses stèles simples, riches d'enseignement sur l'onomastique de la région, mais aussi de belles épitaphes en vers, témoins des goûts et de la culture des élites régionales. Le corpus, essentiellement composé d'inscriptions en grec, comporte aussi l'important dossier des fortifications d'Adraa-Der'a au iiie siècle au sud et celui de l'administration du domaine impérial de la région nord, localisée à Airè-Sanamein. D'autres textes, plus dispersés, permettent de suivre l'évolution géopolitique de la région de l'État-client hérodien jusqu'à la fin de la domination romaine; elles illustrent les activités de l'administration et de la population, aident à comprendre le cadre de vie de celle-ci (villages, métrokômiai, cités, monuments), tandis que des textes assez nombreux reflètent les croyances, aussi bien dans le cadre du polythéisme antique qu'au sein d'une société en voie de christianisation. Les textes s'échelonnent entre le milieu du Ier siècle de notre ère (règne de Claude, 45-46 ap. J.-C.) et le début du VIIIe siècle (722 ap. J.-C.). |
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Inscriptions grecques et latines de la Syrie tome XV, fasc. 1 et 2 Auteurs : SARTRE-FAURIAT (A.), SARTRE (M.) Collection : Bibliothèque archéologique et historique (BAH) Tome : 204 ISBN : 978-2-35159-395-0 Prix : 96 €
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Description2 volumes (358 + 392 p.). Poids : 4008 Lieu de parution : Beyrouth, Presses de l'Ifpo Année de parution : 2014 Reliure : broché Pages : 730
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Ce nouveau tome des IGLS regroupe toutes les inscriptions grecques et latines du plateau du Lejâ, vaste triangle basaltique au sud de Damas, que les Anciens nommaient le Trachôn, le « Rugueux », ce qui traduit bien son aspect sauvage et désolé. Ces inscriptions illustrent la vie dans l'Antiquité des villages de la région qui sont répartis à la fois sur le pourtour du plateau et sur le plateau lui-même, surtout dans la moitié sud, plus propice aux cultures. Les textes appartiennent à tous les genres habituels des inscriptions grecques, consécrations en l'honneur des dieux et déesses, dédicaces en l'honneur des empereurs et des agents impériaux de haut rang (gouverneurs notamment), commémorations de constructions publiques ou privées, épitaphes, bornes milliaires de la route romaine qui le traverse du nord au sud. Une partie de ces inscriptions avaient été publiées auparavant, trouvées par les voyageurs et savants qui ont parcouru la région depuis le début du XIXe siècle, mais une partie non négligeable sont des inédits, trouvés par les auteurs de ces volumes lors de leurs nombreuses visites sur le terrain.
This new volume of IGLS contains all the greek and latin inscriptions of the Leja, the large basaltic triangular plateau situated south of Damascus and which was called Trachôn, the « Rough », by ancient sources. This name gives a perfect image of this wilderness and desolated country. The inscriptions illustrate the life during the ancient greek and roman periods in the villages built around or on the plateau, specially in the south part, more cultivated. These texts are essentially religious consecrations, dedications for emperors or governors, commemorations of private or public buildings, epitaphs, milestones of the roman road crossing the plateau from north to south. Most of them have been published by travellers and scholars since the beginning of the XIXth century, but a big lot of them have been found by the authors of this book during their explorations of the country.
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