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Auteur : PRABHAVANANDA (Swâmi) Collection : Vandé Mâtaram Volume : 7 ISBN : 2-7200-0987-3 Prix : 16,40 €
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Descriptionpublié par le Swâmi Prabhavânanda de l'Ordre de Râmakrisna.
Vandé Mâtaram : Collection publiée sous la haute direction de Swâmi Siddhéswarânanda, de l’ordre de Râmakrishna avec la collaboration de M. Sauton et de M. J. Du Plessis de Grenédan.
XI-144 pages, portrait. Dimensions : 21,30 x 13,50 x 1,10 cm Poids : 200g Lieu de parution : Paris Année de parution : 1947 Réimpression : 1990 Reliure : in-8° broché Traduit du : anglais
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Rakhal Chandra Ghosh, Swami Brahmânanda, (1863 - 1922) est né à Sikra (près de Calcutta). Sa mère, adoratrice de Krichna, le nomme Rakhal en souvenir de Krichna.
Porté à la dévotion dès l'enfance, Rakhal, fait la connaissance de Naren (le futur Swami Vivekananda et disciple principal de Shri Ramakrishna) au collège
En 1981 à Dakshineshwar, peu après son mariage, il rencontre Shri Ramakrishna, qui le reconnaît comme son "fils spirituel" et le prend comme disciple.Swami Brahmânanda dévouera sa vie entière à son gourou et deviendra un moine remarqué pour sa profondeur et sa sérénité.
Egalement connu sous le nom de Raja Mahârâj, il sera le premier président de la l'Ordre de Ramakrishna. Il a été en grande partie responsable du développement initial de la Mission Ramakrishna, négligée suite à la mort prématurée de son fondateur, le Swami Vivekananda.
Swami Prabhavananda (1893 - 1976) philosophe, professeur de religion, était un moine de l'Ordre de Ramakrishna qu'il a rejoint en 1914 pour y être initié par le Swami Brahmânanda. Envoyé aux Etats-Unis, il créé la société de Vedanta de Portland (1925) puis la société de Vedanta de Californie du Sud (1930). Il a écrit plusieurs livres sur la culture hindoue.
Swami Prabhavananda nous apporte ici un profond et sincére témoignage sur "un être illuminé", issu de ses souvenirs personnels et faisant appels à ceux des swamis ayant eu l'immense bohneur de cotoyer régulièrement "Mahârâj".
"Lorsque vous êtes en présence d'une de ces grandes personnalités, il se produit quelque chose de merveilleux : leur simple présence vous donne, pour ainsi dire, un sens supérieur qui vous rend capable de reconnaître la grandeur qui est en eux.
« Mahârâj » (comme on appelait Swâmi Brahmânanda) nous donnait ce sens supérieur chaque fois que nous étions auprès de lui. Il élevait nos esprits qui saisissaient alors des aperçus de sa nature intérieure.
Un jour, Swâmi Râmakrichnânanda, fondateur et supérieur du Monastère de Râmakrichna à Madras, présenta Mahârâj à ses disciples en disant: « Aucun de vous n'a vu Çri Râmakrichna lui-même, mais vous voyez maintenant Mahârâj et c'est la même chose. »
Çri Râmakrichna avait coutume de dire : « Lorsque vous méditez, retirez-vous dans un endroit solitaire ou dans la forêt, et méditez dans le sanctuaire de votre creur. Poursuivez votre effort pendant quelque temps et vous découvrirez à quel point la vie contemplative est captivante. Vous serez tranformés. Vous avez la protection d'une âme illuminée. Ne vous inquiétez donc de rien, vous êtes sûrs d'arriver. »"Swami Prabhavananda.
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SommairePréface par le Swâmi Prabhavânanda.
Introduction. Son enfance. Sa vie avec le Maître. Après la mort du Maître. Maharaj, Supérieur de l'Ordre de Râmakrichna. Maharaj dans son rôle de guru. Ses visions mystiques. Ses derniers instants.
Les enseignements spirituels de Maharaj : Chap. I. Dieu existe. Chap. II. Connaître Dieu est l'Idéal Suprême. Chap. III. Le Corps, Temple de Dieu. Chap. IV. Soyez purs : vous trouverez la Paix en dieu. Chap. V. Tenez vous fermement au Seigneur. Chap. VI. Ayez confiance en vous-même. Chap. VII. Dieu est au delà de la dualité et de la non-dualité. Chap. VIII. Pratiquez vos disciplines méthodiquement. Chap. IX. Comment la kundalini peut-elle être éveillée ? Chap. X. Travail et adoration . Chap. XI. Consacrez votre esprit à Dieu et grande sera votre joie. Chap. XII. Souvenez-vous de Lui sans cesse. Chap. XIII. Perdez-vous en Dieu. Chap. XIV. L'on peut voir Dieu. Chap. XV. Vivez pour le bien du monde. Chap. XVI. Apprenez à connaître Sa Grâce. Chap. XVII. Obtenez la Grâce de votre propre mental. Chap. XVIII. Demeurez en la compagnie des saints. Chap. XIX. Maintenez votre esprit en Dieu. Chap. XX. Prenez refuge en Dieu. Chap. XXI. Ne cherchez que Dieu. Chap. XXII. Le véritable ascétisme consiste à maitriser ses passions. Chap. XXIII. Imitez la vie des Saints. Chap. XXIV. La paix réside dans le coeur de l'homme qui aime Dieu. Chap. XXV. Comment méditer. Chap. XXVI. Travail et adoration. Chap. XXVII. Restez purs ! Chap. XXVIII. Consacrez-vous à Dieu. Chap. XXIX. Obstacles à la vie spirituelle. Chap. XXX. Qu'est-ce que l'ascétisme ?. Chap. XXXI. Ayez d'abord la Connaissance de Dieu. Chap. XXXII. Luttez ! Vos yeux s'ouvriront à Sa Grâce.
Appendice. Japa
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Auteurs : SAUTON (Marcel) , MASSON-OURSEL (P.), SIDDHESWARANANDA (Swâmi) Collection : Vandé Mâtaram Volume : 4 ISBN : 978-2-7200-1125-2 Prix : 16 €
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Descriptiontraduction par M. Sauton selon la version anglaise du Swami Nikhilânanda.
Avant-propos du Swami Siddhèswarânanda de l'Ordre de Râmakrischna pour servir d'introduction à d'introduction à l'étude des ouvrages védantiques.
Vandé Mâtaram : Collection publiée sous la haute direction de Swâmi Siddhéswarânanda, de l’ordre de Râmakrishna avec la collaboration de M. Sauton et de M. J. Du Plessis de Grenédan.
2+LXXVIII-88 pages Dimensions : 21,50 x 13,50 x 0,80cm Poids : 2220g Lieu de parution : Paris Année de parution : 1945 Réimpression : 2021 Reliure : in-8° broché Pages : 168 Preface de : Masson-Oursel (M. P.) , Swami Siddhèswarânanda Traduit par : SAUTON (M.), NIKHILÂNANDA (Swami) Traduit du : anglais
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Le Drg-Drçya-Viveka est attribué à Shankarâchârya comme le Viveka-cuda-mani.Ce manuel est un classique de la philosophie védantique. Les 46 versets du Drig-Driçya-Viveka constituent une méthode d'investigation qui a pour fin de distinguer le Spectateur du Spectacle. Cette discrimination est d'une importance capitale, si l'on désire aborder avec fruit les hautes études védantiques. L'ouvrage comporte également une introduction complète au sujet du Védanta.Quiconque lira en notre langue ce texte très serré, mais d'autant plus précis, saura comment la discrimination entre " Spectacle et Spectateur " apporte, selon la philisophie védique, la clé du salut. P. Masson-Oursel Adi Shankarâchârya, est considéré comme l'un des plus grands maîtres spirituels de l'hindouisme, philosophe, réformateur, et commentateur le plus connu des textes liés au Vedânta et des Upanisad principales. Il fut vénéré pour son immense érudition, ses qualités de coeur, sa probité, sa sagesse.Le Swami Nikhilânanda (1895-1973) fut un disciple direct de la Sainte Mère Sri Sarada Devi. Ordonné moine de l'ordre de Ramakrishna en 1924, il a passé plusieurs années dans un monastère de l'Himalaya où il fit une étude sur l'hindouisme et d'autres systèmes de la philosophie et de la religion. Envoyé en Amérique, en 1931, il fonde le centre de Ramakrishna-Vivekananda de New York dont il sera le chef spirituel jusqu'à sa mort.
Swâmi Siddhéswarânanda (1897-1957), communément appelé Gopal Maharaj, était un moine respecté de la Mission Ramakrishna, initié par Swami Brahmananda. Il avait une grande admiration pour Sri Ramana Maharshi.
Désigné par la Mission Râmakrishna pour représenter la spiritualité indienne en France, il fonde l'ashram Râmakrishna à Gretz (Centre Védantique Ramakrishna), en 1948. Il répand le message du Vedanta en langue française et devient connu en France par ses conférences et ses écrits.
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Sommaire~ Préface par le Pr P. Masson-Oursel.
~ Avant-propos servant d'introduction à l'étude des ouvages védantiques, par le Swami Siddhèswarânanda de l'Ordre de Râmakrischna : 1ère part. Le développement de la pensée hindoue. 2ème part. L'ontologie selon le vedanta 3ème part. Les principaux concepts du vedanta.
~ Comment discriminer le Spectateur du Spectacle (versets I à XLVI).
~ Appendice n°1, Préface à l'édition originale, par Mr V. Subrahmanya Iyer.
~ Appendice n°2, Introduction à l'édition originale, par le Swami Nikhilânanda de l'Ordre de Ramakrichna.
~ Note relative à la prononciation des mots sankrits.
~ Glossaire des mots sankrits employés dans le présent ouvrage
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Auteur : CRI CAMKÂRÂCARYA Collection : Vandé Mâtaram Volume : 5 ISBN : 978-2-7200-0985-3 Prix : 16 €
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Descriptiond’après la traduction anglaise du Swâmi Madhavânanda par M. Sauton.
Vandé Mâtaram : Collection publiée sous la haute direction de Swâmi Siddhéswarânanda, de l’ordre de Râmakrishna avec la collaboration de M. Sauton et de M. J. Du Plessis de Grenédan.
10+176+2 pages. Dimensions : 21,50 x 13,50 x 1,00 cm Poids : 240g Lieu de parution : Paris Année de parution : 1946 Réimpression : 2021 Reliure : in-8° broché Pages : 188 Traduit par : SAUTON (M.), Swami MADHAVANANDA Traduit du : anglais
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Viveka-cûdâ-mani (Vivéka-Chûdâmani) est l'un des grands écrits du philosophe et mystique indien Camkârâcarya (VIIIe-IXe s.). Chef-d'oeuvre de l'Advaïta-Védânta, iI se compose de 580 versets sanskrit. Il traite de la non-dualité propre à la philosophie de l'Advaïta-Védânta, l'une des écoles philosophiques hindouistes la mieux connue du Védânta.
Le texte se présente sous une forme de dialogue entre le maître et le disciple structuré en versets.
Camkârâcarya (Adi Shankarâchârya ou Shankara), est considéré comme l'un des plus grands maîtres spirituels de l'hindouisme, philosophe, réformateur, et commentateur le plus connu des textes liés au Vedânta et des Upanisad principales. Il fut vénéré pour son immense érudition, ses qualités de coeur, sa probité, sa sagesse.
"Le thème fondamental (de cette oeuvre) peut se formuler comme suit : " Seul, Brahman est réel; l'univers est irréel, et l'âme individuelle n'est autre que l'Ame universelle ? " [...]
Le Viveka-cûdâ-mani [...] procède à une analyse pénétrante de l'expérience humaine [...] Il est d'un bout à l'autre, inspiré par la vision prophétique d'un véritable " être de réalisation " [...]
C'est avec soin que nous avons revu et complété notre première traduction et nous espérons que, sous cette nouvelle présentation, l'ouvrage pourra servir de " vade-mecum " à tous les étudiants en philosophie advaïtique. " M. Sauton
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SommaireAvant-propos de l'édition originale.
Le plus beau fleuron de la discrimination : Invocation La libération est chose rare les titres que doit présenter un aspirant les vertues cardinales L'effort personnel et la grâce du guru Il y a un moyen de franchir l'Océan du samsara La réalisation personnelle Les fausses identifications. L'organe interne ou corps subtil. Maya, la grande Enchanteresse. C'est Lui ! La servitude humaine. L'individualité et les cinq graines: . L'atman est au dela des cinq graines. Brahman est l'unique réalité. Tu es Cela ! Médite donc sur Lui dans le lotus de ton coeur ! Chasse la surimposition qui s'est abattue sur ton mental !. Le sens du moi (ahman-kara). l'éradication des désirs. la concentration sur Brahman. Le pouvoir de la discrimination. Le nirvakalpa-samadhi. Les degrés du yoga. Le renoncement. Le Soi. En l'unique Existence, où trouverait-on trace de diversité ? pendant le samadhi. La notion de corps. L'Ignorance. Le "libéré-vivant" (jivan-mukta). Les différents genres de karman. Seul, existe Brahman ! La réalisation du Soi. En vérité, je suis Brahman ! La reconnaissance du disciple à légard du guru. Suprêmes recommandations. l'Etre de réalisation. esclavage et Libération. Maître et disciple se séparent... Puisse ces courageux samnyasins....
Hymne au Guru.
Glossaire des mots sankrits utilisés dans le texte.
Note sur la prononciation des mots sankrits.
Répertoire des citations reproduites dans les notes du présent ouvrage
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Auteur : SIDDHESWARANANDA (Swâmi) Collection : Vandé Mâtaram Volume : 1 ISBN : 978-2-7200-1137-5 Prix : 16 €
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DescriptionVandé Mâtaram : Collection publiée sous la haute direction de Swâmi Siddhéswarânanda, de l’ordre de Râmakrishna avec la collaboration de M. Sauton et de M. J. Du Plessis de Grenédan.
Portrait, 10+154+2 pages Dimensions : 21,50 x 13,50 x 0,80 cm Poids : 215g Lieu de parution : Paris Année de parution : 1955 Réimpression : 2021 Reliure : in-8° broché Pages : 166
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Swâmi Siddhéswarânanda (1897-1957) était un moine respecté de la Mission Râmakrishna.
De son nom d'origine Gopal Marar de Kottilil ou Tharavaad de Thrissur, il fut un prince de la Maison de Cochin, Kerala, avant de devenir moine. Il fit des études d'histoire à l'université de Madras. Initié par Swami Brahmananda, il fut ordonné moine en 1925. On l'appelait communément Gopal Maharaj.
Il fut président de la Ramakrishna Math. Il avait une grande admiration pour Sri Ramana Maharshi.
Désigné par la Mission Râmakrishna pour représenter la spiritualité indienne en France, il arriva en France en 1937, et fonda l'ashram Râmakrishna à Gretz (Centre Védantique Râmakrishna), en 1948. Il répand le message du Vedanta en langue française et devient connu en France par ses conférences et ses écrits.
"Les pages qui suivent n'ont pas l'enchaînement d'un savant discours [...] Elles ne sont tout simplement que le fidèle compte rendu des causeries que j'ai faites à Paris, pendant les années 1939 et 1940, afin d'expliquer à un groupe d'aspirants sérieux et ardents en quoi consiste la méditation. [...]
J'avais pour habitude de présenter, chaque semaine, un aspect de la philosophie védântique [...] En rapprochant, par un trait d'union, deux systèmes philosophiques dont les démarches sont différentes - l'un le yoga [...] qui conduit à l'expérience mystique, et l'autre, le védânta, qui met en relief le côté métaphysique et mène à la Connaissance - j'ai observé la tradition de " l'Ordre de Râmakrisna " et me suis efforcé d'exposer le sujet [...] en m'inspirant de l'enseignement de notre Maître : après avoir fait la synthèse expérimentale de toutes les méthodes, Crî Râmakrisna a déclaré, en connaissances de cause, que, pour réaliser la Vérité des vérités, il y a autant de chemins que de religions et de systèmes." Swâmi Siddhéswarânénda
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SommaireAvant-Propos.
Chap. I. La formation du caractère et la force de la pensée.
Chap. II. Les bases psychologiques et métaphysisques du yoga védânta.
Chap. III. La sadhana ou la purification de l'individualité.
Chap. IV. Le rôle du japa dans l'éveil de la kundalini.
Chap. V. l'objet de la méditation, le choix d'un idéal.
Chap. VI. la valeur du grand silence.
Chap. VII. les deux appels de la vie spirituelle : bhakti et jnana.
Conclusion. l'expérience intégrale.
Vocabulaire des mots sanskrits utilisés dans le texte.
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Causeries faites à l'Université de Toulouse par le Swâmi Siddhéswarânanda de l'Ordre de Râmakrisna. 4e série — Février-Juin 1942 Auteur : SIDDHESWARANANDA (Swâmi) Collection : Vandé Mâtaram Volume : 2 ISBN : 978-2-7200-0982-2 Prix : 18 €
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DescriptionIntroduction de P. Dottin, Doyen de la Faculté des Lettres.
Vandé Mâtaram : Collection publiée sous la haute direction de Swâmi Siddhéswarânanda, de l’ordre de Râmakrishna avec la collaboration de M. Sauton et de M. J. Du Plessis de Grenédan.
4+260 pages Dimensions : 21,50 x 13,50 x1,30 cm Poids : 334g Lieu de parution : Paris Année de parution : 1945 Réimpression : 2016 Reliure : in-8° broché Pages : 264 Preface de : DOTTIN (P.)
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Swâmi Siddhéswarânanda (1897-1957) était un moine respecté de la Mission Ramakrishna.
De son nom d'origine Gopal Marar de Kottilil ou Tharavaad de Thrissur, il fut un prince de la Maison de Cochin, Kerala, avant de devenir moine. Il fit des études d'histoire à l'université de Madras. Initié par Swami Brahmananda, il fut ordonné moine en 1925. On l'appelait communément Gopal Maharaj.
Il fut président de la Ramakrishna Math. Il avait une grande admiration pour Sri Ramana Maharshi.
Désigné par la Mission Râmakrishna pour représenter la spiritualité indienne en France, il arriva en France en 1937, et fonda l'ashram Râmakrishna à Gretz (Centre Védantique Ramakrishna), en 1948. Il répand le message du Vedanta en langue française et devient connu en France par ses conférences et ses écrits.
"Dans une modeste salle de la Faculté des Lettres de Toulouse, un moine de l'Ordre de Râmakrichna, le Svâmi Siddheswârananda, a réuni des étudiants; d'autres personnes de la villes sont venues se joindre à eux. [...] A sa parole, les esprits s'ouvraient, et l'Orient rencontrait l'Occident, et l'Occident accueillait l'Orient dans un large désir de compréhension et de fraternité [...]. Les pages que l'on va lire reproduisent les conférences prononcées à Toulouse. Puissent-elles être lues comme elles ont été dites, avec le désir de comprendre et d'unir. Leur auteur n'a certes pas d'autre dessein." Paul Dottin.
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SommaireAvant-propos par le Swâmi Siddheswarânanda Introduction de Mr Paul Dottin.
Causerie n° 90. La civilisation indo-aryenne à travers l'histoire Causerie n° 91. L'écriture sainte des Indo-Aryens : les vedas et les upanisads Causerie n° 92. Les upanisads (suite) Causerie n° 93. La place de la bhagavad-gitâ dans la pensée hindoue Causerie n° 94. La perception selon le sâmkhya Causerie n° 95. L'ontologie du vedânta : la notion d'Être pur (sat) d'après Camkara Causerie n° 96. L'ontologie du vedânta (suite) : La Réalité en tant que "sat" Causerie n° 97. La notion de yajna dans la vie religieuse hindoue Causerie n° 98. Le mysticisme hindou Causerie n° 99. L'ontologie du vedânta (fin) : Le concept de "cit" Causerie n° 100. L'ontologie du vedânta (suite) : l'Être en tant qu'Intelligence pure (cit) Causerie n° 101. L'ontologie du vedânta (fin) : Le concept d'ânanda Causerie n° 102. Quelles conséquences philosophiques peut-on tirer de l'étude des rêves?
Appendice à la causerie 96; traduction intégrale du commentaire consacré par Camkara au 7e verset de la brhad up., IV/3.
Glossaire des mots sanskrits.
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Les conditions et les préliminaires de la vie selon l'Esprit Auteurs : ASHOKANANDA (Swâmi), SAUTON (Marcel) Collection : Vandé Mâtaram Volume : 6 ISBN : 978-2-7200-0983-9 Prix : 15 €
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DescriptionVandé Mâtaram : Collection publiée sous la haute direction de Swâmi Siddhéswarânanda, de l’ordre de Râmakrishna avec la collaboration de M. Sauton et de M. J. Du Plessis de Grenédan.
portrait, 4+X+92 pages. Dimensions : 21,50 x 13,50 x 0,60 cm Poids : 142g Lieu de parution : Paris Année de parution : 1946 Réimpression : 2016 Reliure : in-8° broché Pages : 106 Preface de : Swâmi Siddheswarânanda Traduit par : SAUTON (M.) Traduit du : anglais
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"Celui qui a écrit ces lignes [...] se rappelle certains jours de détresse et il a la conviction qu'en entreprenant de définir les étapes de la religion pratique et de déterminer les conditions que doit remplir chaque aspirant, il a accompli un travail qui, en dépit de ses imperfections et de ses lacunes, pourra rendre services à quelques personnes.[...] en ce modeste ouvrage, il ne vise pas à l'infaillibilité ; il y décrit ce qu'il a ressenti - ce qu'il a compris et, simplement, il relate ses propres expériences [...]" Swâmi Ashokânanda."De nos jours nous traversons une période troublée : nombreux sont les esprits [...] incapables, par leurs propres moyens, de discerner la voie qui leur conviendrait. Comment pratiquer le prânâyâma - quel régime alimentaire il faut adopter - peut-on concilier la vie séculaire et la vie de l'Esprit - [...] quel secours doit-on attendre d'un guru [...] Voila les questions qui sont traitées ici avec une franchise peu commune.[...] Tout véritable candidat à la vie spirituelle aura désormais une claire notion de ses besoins essentiels [...] ce livre est riche en précieux conseils et en salutaires avertissements." Swâmi Siddhéswarânanda.
Ce manuel de spiritualité est destiné à tous ceux qui voudront avoir un début de connaissance à la méditation : ils trouveront dans ses pages un chemin vers la libération védantique qui ne peut s'obtenir qu'à travers le désintéressement, le renoncement et la continence.
Le Swâmi Ashokânanda fut un des disciples de Râmakrisna, et l'un des membres les plus remarquable de l'ordre de Râmakrisna. Après une brillante carrière en Inde il fut envoyé aux Etats-Unis pour y aider le swami du centre védantique de San Francisco : il y devint à son tour le chef du mouvement védantique, 40 ans après le Swâmi Vivekananda.
Le Swâmi Ashokânanda fut remarqué par ses dons éminents : "à une rare compréhension des choses spirituelles, il allie le pouvoir de conduire au but, par un sentier approprié, les disciples qui s'efforcent sincèrement de réaliser les vérités éternelles".
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SommairePréface par le Swâmi Siddheswarânanda.
Avant-Propos.
Chap. I. Devant le portail sacré. Chap. II. pranâyama, ou les exercices de respiration rythmée. Chap. III. Rationalisme ou Spiritualité ? Chap. IV. Le rôle du japa dans l'éveil de la kundalini. Chap. V. Sur le seuil. Chap. VI. L'heure du renoncement. Chap. VII. Est-il nécessaire de renoncer ? Chap. VIII. Le renoncement extérieur. Chap. IX. L'amour humain est-il une aide ? Chap. X. Le problème du célibataire. Chap. XI. Le problème du chef de famille. Chap. XII. La pratique du karma-yoga. Chap. XIII. brahma-carya, ou la valeur de la continence absolue. Chap. XIV. Le régime alimantaire. Chap. XV. L'aspirant ne saurait se passer d'un guru. Chap. XVI. Les marques auxquelles on reconnait un véritable guru.
Conclusion.
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(première partie) Auteur : SAUTON (Marcel) Collection : Vandé Mâtaram Volume : 3 ISBN : 978-2-7200-0984-6 Prix : 17 €
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DescriptionVandé Mâtaram : Collection publiée sous la haute direction de Swâmi Siddhéswarânanda, de l’ordre de Râmakrishna avec la collaboration de M. Sauton et de M. J. Du Plessis de Grenédan.
Portrait, 2+210 pages Dimensions : 21,50 x 13,50 x 1,15cm Poids : 270g Lieu de parution : Paris Année de parution : 1946 Réimpression : 2016 Reliure : in-8° broché Pages : 212 Traduit par : SAUTON (M.) Traduit du : anglais
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Sarada-Devi (1853-1920), est née dans une humble famille. Elle fut mariée à Ramakrishna à l'âge de cinq ans et alla vivre avec lui à l'âge de dix-huit ans sans que leur mariage ne soit jamais consommé charnellement. La Sainte Mère est ainsi considérée comme étant le premier disciple de Ramakrishna.
Après la mort de Ramakrishna, Cri Sarada-Devi continua de vivre dans la spiritualité, proche des disciples moines de Ramakrishna. Au contraire de Ramakrishna qui en eut peu, elle eut de nombreux disciples.
En 1954, à l'occasion du centenaire de la naissance de la sainte Mère, et suivant la vision du Swami Vivekananda, fut fondé L'Ordre de Sarada, réservé aux femmes, et dont la mission est parallèle à celle de l'Ordre de Ramakrishna.
"Pour composer cette biographie, nous avons consulté tous les ouvrages déjà publiés en bengali, [...] glané des informations précieuses auprès des disciples qui ont vécu dans son intimité. [...] de nombreux témoins, encore vivants, nous ont fourni une documentation de première main : [...] des moines de l'Ordre de Râmakrischna, [...] un petit groupe de femme disciples directes de la Sainte Mère.
[...] La vie de la Sainte Mère paraîtra peut-être bien simple [...] En rapportant les incidents de son existence, nous les avons étudiés avec le plus grand soin, et nous nous sommes efforcé de dégager en toute occasion l'Idéal dont ils ne sont que la manifestation. [...]
La seconde partie du présent ouvrage : " les Entretiens de la sainte Mère " est tiré des deux tomes écrits en bengali [...] Ces " Entretiens " sont, sans exception, riches en conseils d'une importance capitale. [...]
En résumé la Biographie expose en termes généraux ce qui est amplement illustré par des exemples concrets décrits en détails dans les " Entretiens ". M. Sauton
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SommairePréface.
Chap. I. Dans un hameau du Bengale. Chap. II. La naissance et l'éducation de la petite Sarada. Chap. III. Le mariage de Sarada. Chap. IV. Le premier voyage de Sarada-Devi à Daksineçvar. Chap. V. L'épreuve du feu. Chap. VI. Où Sarada-Devi est consacrée comme la "Sainte-Mère". Chap. VII. Aux pieds du Maître. Chap. VIII. Au service du Maître. Chap. IX. Au long de treize années...! Chap. X. La mort du Maître. Chap. XI. La Sanite Mère se rend en pèlerinage à Brindavan. Chap. XII. La vie à Kamar-Poukour. Chap. XIII. L'engranage des obligations familiales. Chap. XIV. Son ministère sprirituel. Chap. XV. Quelques traits de son caractère. Chap. XVI. Quelques autres pèlerinages. Chap. XVII. La fin de sa vie. Chap. XVIII. Son message. Chap. XIX. Ses derniers moments.
Glossaire des mots sankrits et étranger
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Auteur : ALEXANDER (F. J. ) Collection : Vandé Mâtaram, Petite collection Volume : 1 ISBN : 978-2-7200-0002-7 Prix : 12 €
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DescriptionPublié par le Swâmi Siddheswarânanda et le Centre Védantique Râmakrichna dans la série "petite collection" des Vandé Mâtaram Dimensions : 12,50x18x0,70cm Poids : 110g Lieu de parution : Paris Année de parution : 1948 Reliure : in-12° broché Pages : 105 Preface de : Swâmi Siddheswarânanda de l'ordre de Râmakrishna Traduit par : SAUTON (Marcel) Traduit du : anglais
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Le "Royaume intérieur", sous son titre original "In the hours of meditation", est extrêmement répandu dans tous les pays de langue anglaise.
Ces enseignements sont présentés sous la forme d'un dialogue; ils portent l'empreinte, consacrée par le temps, des conseils par lesquels les rsis védiques ont déjà, aux âges préhistoriques de l'Inde, répondu aux questions qui ont préoccupé de tout temps I'esprit des hommes.
L'auteur de ces pages inspirées a vécu en communion spirituelle étroite avec l'un des Saints les plus éminents que l'Inde moderne ait produits, celui que Cri Râmakrichna considérait comme le continuateur de sa propre mission et à qui il avait délégué ses pouvoirs, pour guider les êtres qui tendent vers la Libération. C'est en effet en lisant les oeuvres du Swâmi Vivekânanda qu'Alexander, l'auteur de ce livre, reçut sa première inspiration, et c'est à la suite de cette lecture qu'un peu plus tard, il partit pour l'Inde. Il eut alors le privilège de suivre les conseils du Swâmi Turiyânanda, lui aussi disciple direct de Cri Râmakrichna, et que le Maître regardait comme la personnification de "l'homme parfait selon l'idéal de la bhagavad gîtâ".Cet ouvrage exercera sur l'esprit français une attraction d'autant plus forte qu'Alexander réunit en lui le meilleur de deux cultures, celle de l'Orient et celle de l'Occident.
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SommairePréface
Texte : 30 chapitres
Note sur la pronociation des mots sanskrits
Glossaire des mots sanskrits
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Inscriptions et peintures murales, Grottes 31 à 72Collection : Mission Paul Pelliot Volume : 11 Tome : 2 Prix : 60 €
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DescriptionAvant-propos de Nicole Vandier-Nicolas, Note préliminaire de Monique Maillard.
Mission Paul Pelliot. Documents archéologiques conservés au Musée Guimet, publiés par le Centre de Recherche sur l'Asie Centrale et la Haute Asie des Instituts d'Extrême-Orient du Collège de France. Publiés avec le concours du CNRS.
XIV-78 pages, les pages 45-76 présentent des fac-similés du "Carnet Pelliot", planches LXV-CXXVIII hors-texte. Dimensions : 21 x 29,80 x 1,2 cm Poids : 525 Lieu de parution : Paris Année de parution : 1983 Reliure : in-4° broché Pages : 156
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Paul Pelliot (1878-1945), sinologue et tibétologue, linguiste français, fut l'élève de l'indianiste Sylvain Lévi et du sinologue Edouard Chavannes. Professeur au Collège de France à partir de 1911, ses travaux des années 1920-1930 font toujours autorité.
Membre de l'Ecole française d'Extrême-Orient, il effectue plusieurs missions en Chine et en Asie centrale : la plus fameuse est celle de 1908 durant laquelle il gagne le Turkestan où, près de Dunhuang, il sélectionne et achète une partie des précieux manuscrits religieux (bouddhistes) et profanes découverts dans les grottes de Mogao : ces manuscrits étaient rédigés en chinois, tibétain, sogdien et ouïgour. Marcelle Lalou a catalogué la collection de vieux manuscrits tibétains qui s'avérèrent d'une grande importance pour l'étude de l'Asie centrale de la période VIe au XIe siècle et la diffusion du bouddhisme vers la Chine par la route de la soie.
Les peintures murales, également rapportées, sont conservées au Musée national des Arts asiatiques-Guimet.
Paul Pelliot, en mourant, a laissé une masse considérable de manuscrit représentant le labeur de plus de quarante années. Le Musée Guimet ayant reçu en dépôt tous ces manuscrits, ses élèves et ses amis en ayant entrepris le dépouillement, ont jugé qu'un certain nombre de ces travaux méritaient d'être publié : ils ont été réunis dans la collection Oeuvres posthumes de Paul Pelliot.
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SommaireAvant-propos par Mme N. Vandier-Nicolas — Note préliminaire par Mme M. Maillard — Texte du "Carnet Pelliot" : T'ien-Fo Tong de Cha-Tcheou — Fac-similés du "Carnet Pelliot" — Photographies Pelliot "in situ"
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Inscriptions et peintures murales, Grottes 73 à 111 aCollection : Mission Paul Pelliot Volume : 11 Tome : 3 Prix : 60 €
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DescriptionAvant-propos de Nicole Vandier-Nicolas, Note préliminaire de Monique Maillard.
Mission Paul Pelliot. Documents archéologiques conservés au Musée Guimet, publiés par le Centre de Recherche sur l'Asie Centrale et la Haute Asie des Instituts d'Extrême-Orient du Collège de France. Publiés avec le concours du CNRS.
XVI-97 pages, 3 f.n.ch., les pages 51 à 97 présentent des fac-similés du " Carnet Pelliot ", planches CXXIX à CXCII hors-texte. Dimensions : 21 x 29,80 x 1,4 cm Poids : 525 Lieu de parution : Paris Année de parution : 1983 Reliure : in-4° broché Pages : 165
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"Mission Paul Pelliot" Documents archéologiques conservés au Musée Guimet et à la BN, publiés par le Centre de Recherche sur l'Asie Centrale et la Haute Asie des Instituts d'Asie du Collège de France. Documents archéologiques publiés sous les auspices de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, sous la direction de L. Hambis. Publiés avec le concours du CNRS et de la Direction des Musées de France
Paul Pelliot (1878-1945), sinologue et tibétologue, linguiste français, fut l'élève de l'indianiste Sylvain Lévi et du sinologue Edouard Chavannes. Professeur au Collège de France à partir de 1911, ses travaux des années 1920-1930 font toujours autorité.
Membre de l'Ecole française d'Extrême-Orient, il effectue plusieurs missions en Chine et en Asie centrale : la plus fameuse est celle de 1908 durant laquelle il gagne le Turkestan où, près de Dunhuang, il sélectionne et achète une partie des précieux manuscrits religieux (bouddhistes) et profanes découverts dans les grottes de Mogao : ces manuscrits étaient rédigés en chinois, tibétain, sogdien et ouïgour. Marcelle Lalou a catalogué la collection de vieux manuscrits tibétains qui s'avérèrent d'une grande importance pour l'étude de l'Asie centrale de la période VIe au XIe siècle et la diffusion du bouddhisme vers la Chine par la route de la soie.
Les peintures murales, également rapportées, sont conservées au Musée national des Arts asiatiques-Guimet.
Paul Pelliot, en mourant, a laissé une masse considérable de manuscrit représentant le labeur de plus de quarante années. Le Musée Guimet ayant reçu en dépôt tous ces manuscrits, ses élèves et ses amis en ayant entrepris le dépouillement, ont jugé qu'un certain nombre de ces travaux méritaient d'être publié : ils ont été réunis dans la collection Oeuvres posthumes de Paul Pelliot.
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SommaireAvant-propos par Mme N. Vandier-Nicolas — Note préliminaire par Mme M. Maillard — Texte du "Carnet Pelliot" : T'ien-Fo Tong de Cha-Tcheou — Fac-similés du "Carnet Pelliot" — Photographies Pelliot "in situ"
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Inscriptions et peintures murales, Grottes 112a à 120nCollection : Mission Paul Pelliot Volume : 11 Tome : 4 Prix : 60 €
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DescriptionAvant-propos de Nicole Vandier-Nicolas, Note préliminaire de Monique Maillard.
Mission Paul Pelliot. Documents archéologiques conservés au Musée Guimet, publiés par le Centre de Recherche sur l'Asie Centrale et la Haute Asie des Instituts d'Extrême-Orient du Collège de France. Publiés avec le concours du CNRS.
XVII-108 pages, 1 f.n.ch., les pages 57 à 108 présentent les fac-similés du " Carnet Pelliot ", planches CXCII à CCLVI hors-texte. Dimensions : 21 x 29,80 x 1,4 cm Poids : 616 Lieu de parution : Paris Année de parution : 1984 Reliure : in-4° broché Pages : 190
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Paul Pelliot (1878-1945), sinologue et tibétologue, linguiste français, fut l'élève de l'indianiste Sylvain Lévi et du sinologue Edouard Chavannes. Professeur au Collège de France à partir de 1911, ses travaux des années 1920-1930 font toujours autorité.
Membre de l'Ecole française d'Extrême-Orient, il effectue plusieurs missions en Chine et en Asie centrale : la plus fameuse est celle de 1908 durant laquelle il gagne le Turkestan où, près de Dunhuang, il sélectionne et achète une partie des précieux manuscrits religieux (bouddhistes) et profanes découverts dans les grottes de Mogao : ces manuscrits étaient rédigés en chinois, tibétain, sogdien et ouïgour. Marcelle Lalou a catalogué la collection de vieux manuscrits tibétains qui s'avérèrent d'une grande importance pour l'étude de l'Asie centrale de la période VIe au XIe siècle et la diffusion du bouddhisme vers la Chine par la route de la soie.
Les peintures murales, également rapportées, sont conservées au Musée national des Arts asiatiques-Guimet.
Paul Pelliot, en mourant, a laissé une masse considérable de manuscrit représentant le labeur de plus de quarante années. Le Musée Guimet ayant reçu en dépôt tous ces manuscrits, ses élèves et ses amis en ayant entrepris le dépouillement, ont jugé qu'un certain nombre de ces travaux méritaient d'être publié : ils ont été réunis dans la collection Oeuvres posthumes de Paul Pelliot.
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SommaireAvant-propos par Mme N. Vandier-Nicolas — Note préliminaire par Mme M. Maillard — Texte du "Carnet Pelliot" : T'ien-Fo Tong de Cha-Tcheou — Fac-similés du "Carnet Pelliot" — Photographies Pelliot "in situ"
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Inscriptions et peintures murales, grottes 120n à 146Collection : Mission Paul Pelliot Volume : 11 Tome : 5 Prix : 60 €
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DescriptionAvant-propos de Nicole Vandier-Nicolas, Note préliminaire de Monique Maillard.
Mission Paul Pelliot. Documents archéologiques conservés au Musée Guimet, publiés par le Centre de Recherche sur l'Asie Centrale et la Haute Asie des Instituts d'Extrême-Orient du Collège de France. Publiés avec le concours du CNRS.
XVIII-151 pages, 4 f.n.ch, dont 73 fac-similés, planches CCLVII-CCCXX hors-texte. Dimensions : 21 x 29,80 x 1,7 cm Poids : 750 Lieu de parution : Paris Année de parution : 1986 Reliure : in-4° broché Pages : 236
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Paul Pelliot (1878-1945), sinologue et tibétologue, linguiste français, fut l'élève de l'indianiste Sylvain Lévi et du sinologue Edouard Chavannes. Professeur au Collège de France à partir de 1911, ses travaux des années 1920-1930 font toujours autorité.
Membre de l'Ecole française d'Extrême-Orient, il effectue plusieurs missions en Chine et en Asie centrale : la plus fameuse est celle de 1908 durant laquelle il gagne le Turkestan où, près de Dunhuang, il sélectionne et achète une partie des précieux manuscrits religieux (bouddhistes) et profanes découverts dans les grottes de Mogao : ces manuscrits étaient rédigés en chinois, tibétain, sogdien et ouïgour. Marcelle Lalou a catalogué la collection de vieux manuscrits tibétains qui s'avérèrent d'une grande importance pour l'étude de l'Asie centrale de la période VIe au XIe siècle et la diffusion du bouddhisme vers la Chine par la route de la soie.
Les peintures murales, également rapportées, sont conservées au Musée national des Arts asiatiques-Guimet.
Paul Pelliot, en mourant, a laissé une masse considérable de manuscrit représentant le labeur de plus de quarante années. Le Musée Guimet ayant reçu en dépôt tous ces manuscrits, ses élèves et ses amis en ayant entrepris le dépouillement, ont jugé qu'un certain nombre de ces travaux méritaient d'être publié : ils ont été réunis dans la collection Oeuvres posthumes de Paul Pelliot.
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SommaireAvant-propos par Mme N. Vandier-Nicolas — Note préliminaire par Mme M. Maillard — Texte du "Carnet Pelliot" : T'ien-Fo Tong de Cha-Tcheou — Fac-similés du "Carnet Pelliot" — Photographies Pelliot "in situ"
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Inscriptions et peintures murales, Grottes 1 à 30Collection : Mission Paul Pelliot Volume : 11 Tome : 1 Prix : 60 €
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DescriptionAvant-propos de Nicole Vandier-Nicolas, Note préliminaire de Monique Maillard.
Mission Paul Pelliot, Documents archéologiques conservés au Musée Guimet .
XIII-131 pages dont 51 en fac-similé des Carnets, LXIV planches hors-texte. Dimensions : 21 x 29,80 x 1,6 cm Poids : 662 Lieu de parution : Paris Année de parution : 1980 Reliure : in-4° broché Pages : 210
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Paul Pelliot (1878-1945), sinologue et tibétologue, linguiste français, fut l'élève de l'indianiste Sylvain Lévi et du sinologue Edouard Chavannes. Professeur au Collège de France à partir de 1911, ses travaux des années 1920-1930 font toujours autorité.
Membre de l'Ecole française d'Extrême-Orient, il effectue plusieurs missions en Chine et en Asie centrale : la plus fameuse est celle de 1908 durant laquelle il gagne le Turkestan où, près de Dunhuang, il sélectionne et achète une partie des précieux manuscrits religieux (bouddhistes) et profanes découverts dans les grottes de Mogao : ces manuscrits étaient rédigés en chinois, tibétain, sogdien et ouïgour. Marcelle Lalou a catalogué la collection de vieux manuscrits tibétains qui s'avérèrent d'une grande importance pour l'étude de l'Asie centrale de la période VIe au XIe siècle et la diffusion du bouddhisme vers la Chine par la route de la soie.
Les peintures murales, également rapportées, sont conservées au Musée national des Arts asiatiques-Guimet.
Paul Pelliot, en mourant, a laissé une masse considérable de manuscrit représentant le labeur de plus de quarante années. Le Musée Guimet ayant reçu en dépôt tous ces manuscrits, ses élèves et ses amis en ayant entrepris le dépouillement, ont jugé qu'un certain nombre de ces travaux méritaient d'être publié : ils ont été réunis dans la collection Oeuvres posthumes de Paul Pelliot.
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SommaireSommaire : Avant-propos par Mme N. Vandier-Nicolas — Note préliminaire par Mme M. Maillard — Texte du "Carnet Pelliot" : T'ien-Fo Tong de Cha-Tcheou — Fac-similés du "Carnet Pelliot" — Photographies Pelliot "in situ"
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Collection : Bulletin de l'Ecole Française d'Extrême-Orient Tome : 105 | En savoir plus...
DescriptionNotes, bibliographies, résumés, illustrations.
Dimensions : 18,5 x 27,5 cm Poids : 1270 Lieu de parution : Paris Année de parution : 2020 Reliure : gd in-8° broché Pages : 417
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SommaireIn memoriam : PO Dharma Quang (1948-2019) (par A. Hardy & D. Perret) – Jacques MAY (1927-2018) (par F. Girard).
Articles : N. CANE. Temples , Inscriptions and Historical (Re)construction: The “Epigraphical Persona” of the Cōḻa Queen Cempiyaṉ Mahādevī (Tenth Century). — J. JÁKL. Śrī-type Rings and Lampblack as a Medium of Seal Impression: A Note on Sealing Practices in Pre-Islamic Java. — I. PANCA PUTRA, A. SETYASTUTI, S. PRAMUMIJOYO, A. INDRAJAYA, A. SESARIA MOCHTAR & V. DEGROOT. Candi Kimpulan (Central Java, Indonesia): Architecture and Consecration Rituals of a 9th-Century Hindu Temple. — P. DALY, E. EDWARDS McKINNON, R. M. FEENER, TAI Yew Seng, ARDIANSYAH, A. PARNELL, NIZAMUDDIN, N. ISMAIL, K. SIEH & J. MAJEWSKI. The Historic Trading Port of Lamri on the North Sumatran Coast. — M. DEEG. Indian Law from a Seventh-Century Chinese Buddhist Perspective. — KUO Liying. The Da fangdeng tuoluoni jing (Vaipulya-dhāraṇī-sūtra) and Dunhuang Evidence. — F. VERELLEN. L’ouverture du chenal de la Puissance céleste sous la Chine des Tang : artifice magique ou poudre noire ? — P. SEBILLAUD, E. BERGER, LIU Xiaoxi & HOU Kan. A Glimpse into Burial Practices of Medieval (10th to 13th c. ad) Elites in the Horqin Region, Northeast China.
Chroniques et notes :Note on Two Pre-Mataram Sites Recently Discovered near Weleri, North Central Java, Indonesia (A. INDRAJAYA, S. SUSETYO & V. DEGROOT). — The Sungai Jaong and Bongkisam Archaeological Project, Sarawak, Malaysia (D. PERRET & M. S. BIN SAUFFI).
Comptes rendus — Résumés - Abstracts.
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conservées au Musée Guimet (Texte et planches) Auteurs : NICOLAS-VANDIER, GAULIER (Simone), LEBLOND, MAILLARD (Monique), JERA BEZARD (M.) Collection : Mission Paul Pelliot Volume : 14 Tome : 15 Prix : 300 €
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DescriptionMission Paul Pelliot, Documents archéologiques publiés sous les auspices de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres.
Vol. XIV: par Mme NICOLAS-VANDIER avec le concours de Mmes S. Gaulier, F. Leblond, M. Maillard et Mr R. Jera-Bezard. Édité avec le concours de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres (Fondations Dourlans), du CNRS et de l'Institut des Hautes Études chinoises, sous la direction de Louis Hambis. PAris, 1974, Frontispice couleur, XXIII-435 pages, 18 planches hors-texte.
Vol. XV : Édité avec le concours du CNRS et du Centre de Recherche sur l'Asie Centrale et la Haute Asie du Collège de France, sous la direction de Louis Hambis. Paris, 1976, 7 pages n.ch., 133 planches dont 14 en couleur.
EPUISE (exemplaires disponible dans le fond ancien sur demande) Dimensions : 25 x 32 x 4,7 cm Poids : 3700 Lieu de parution : Paris Année de parution : 1974 Reliure : in-4° relié toile Pages : 616
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Les volumes XIV et XV sont consacrés à la publication intégrale de 220 peintures et bannières de la collection Pelliot conservées au Musée Guimet. Ces peintures, échelonnées du VIIIe au Xe siècle de notre ère constituent un apport essentiel dans l'histoire du Bouddhisme, de son évolution et de sa propagation au-delà de la Chine, jusqu'au Japon. Ce catalogue illustre les différents aspects du panthéon bouddhique. (Le volume XIV est donc suivi d'un catalogue de planches, le vol. XV, qui illustre intégralement la collection.) |
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"Mission Paul Pelliot" Documents archéologiques conservés au Musée Guimet et à la BN, publiés par le Centre de Recherche sur l'Asie Centrale et la Haute Asie des Instituts d'Asie du Collège de France. Documents archéologiques publiés sous les auspices de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, sous la direction de L. Hambis. Publiés avec le concours du CNRS et de la Direction des Musées de France.
Paul Pelliot (1878-1945), sinologue et tibétologue, linguiste français, fut l'élève de l'indianiste Sylvain Lévi et du sinologue Edouard Chavannes. Professeur au Collège de France à partir de 1911, ses travaux des années 1920-1930 font toujours autorité.
Membre de l'Ecole française d'Extrême-Orient, il effectue plusieurs missions en Chine et en Asie centrale : la plus fameuse est celle de 1908 durant laquelle il gagne le Turkestan où, près de Dunhuang, il sélectionne et achète une partie des précieux manuscrits religieux (bouddhistes) et profanes découverts dans les grottes de Mogao : ces manuscrits étaient rédigés en chinois, tibétain, sogdien et ouïgour. Marcelle Lalou a catalogué la collection de vieux manuscrits tibétains qui s'avérèrent d'une grande importance pour l'étude de l'Asie centrale de la période VIe au XIe siècle et la diffusion du bouddhisme vers la Chine par la route de la soie.
Les peintures murales, également rapportées, sont conservées au Musée national des Arts asiatiques-Guimet.
Paul Pelliot, en mourant, a laissé une masse considérable de manuscrit représentant le labeur de plus de quarante années. Le Musée Guimet ayant reçu en dépôt tous ces manuscrits, ses élèves et ses amis en ayant entrepris le dépouillement, ont jugé qu'un certain nombre de ces travaux méritaient d'être publié : ils ont été réunis dans la collection Oeuvres posthumes de Paul Pelliot.
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SommaireVol. XIV : Avant-propos par L. Hambis — Introduction — Bibliographie — I. Buddha - II. Bodhisattva - III. Divinités gardiennes et êtres surnaturels - IV. Moines éminents - V. Divers — Annexes : Index - Classement iconographique du catalogue - Classement d'inventaire du musée - Table des planches.
Vol. XV : Avant-propos par L. Hambis — Planches.
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Les Upanishad vol. 13 et 20. Publiée et traduite par Auteurs : TUBINI (B.), KAPANI (Lakshmi) Collection : Les Upanishad Volume : 13 Tome : 20 ISBN : 978-2-7200-0973-3 Prix : 7.2 €
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DescriptionLes Upanishad, texte et traduction sous la direction de L. Renou.
Kaivalyopanisad, publiée et traduite par B. Tubini:10 pages pour introduction et traduction et 2 pages pour le texte sanskrit en devanagari. Atmapujopanisad publiée et traduite par Mlle Lakshmi Kapani :16 pages dont 1 de texte devanagari et transcription.
Les Volumes XIII et XX ont été réunis en 1 volume lors de la réimpression Dimensions : 13,50 x 21,10 x 0,3 cm Poids : 44 Lieu de parution : Paris Année de parution : 1974 Réimpression : 1992 Reliure : in-8° broché Pages : 32 Traduit par : B. Tubini, Lakshmi Kapan Traduit du : sanskrit
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Les Upanishads, dont douze ou treize en particulier terminent les Védas, contiennent des écritures philosophiques et métaphysiques traitant de la nature et du rapport de l'âme (atman) à l'esprit suprême Brahman. Le canon Muktika recense 108 Upanishads dont la composition s'étale de -800 à 1300 de notre ère. On distingue traditionnellement douze Upanishads majeures ou principales et quatre-vingt seize Upanishads mineures réparties en six catégories.
Les Upanisads anciennes, qui sont une douzaine, ont été élaborées au VIème siècle avant notre ère et dans les siècles antérieurs. Cette période correspond à la fin de l'époque védique, quand l'importance attachée aux dieux védiques et au sacrifice diminue, et la réflexion religieuse se porte sur la connaissance de brahman, essence transcendante, infinie, et son identification avec âtman, le soi. Le VIème siècle est l'époque de l'émergence du jainisme et du bouddhisme, une période de spéculation intense, où la discussion porte moins sur les actes associés au sacrifice que sur la connaissance authentique, mystique de la réalité ultime. Il est clair d'autre part - la Chândogya Upanisad le montre - que la discussion n'est pas restreinte au cercle des brahmanes, mais qu'elle s'étend à la classe princière. |
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Kaivalyopanisad : Unique Réalité, le Brahman omnipotent, qui est libre de toute relation, est absolu " Kevala ". L'âme incorporée trouve la délivrance en s'isolant dans sa nature essentielle qui a pour soi-même le Brahman suprême. Le Sage qui, par le renoncement à tous les objets du monde empirique, parvient à l'état d'isolement spirituel absolu qui a nom " Kaivalya " est un Kevalin. La Kaivalyopanisad enseigne donc au sage la voie du renoncement et de l'union avec l'Absolu. Elle appartient au groupe des Upanisad Sivaïtes de l'Atharvaveda, puisqu'en elle l'exercice de contemplation intérieure est fondé sur Siva, mais elle est un enseignement de Yoga.
L'Atmapujopanisad figure dans la série intitulée Unpublished Upanishads. L'éditeur de ce recueil la classe parmi les Sâmanyavedânta Upanisad, parmi les Upanisad, donc, qui relèvent du fonds commun du Vedânta. Il faut remarquer toutefois qu'elle contient des éléments yogiques et qu'elle à pour sujet le râjayogin, l'adepte du râjayoga, "voie royale de réintégration".
Quant au titre de l'Upanisad, âtmapûjâ, on peut l'interpréter de deux façons : " Upanisad de l'adoration du Soi " ou " Upanisad de l'adoration et du Soi ". Cette analyse du titre nous aide à éclairer le texte lui-même. La première interprétation, en effet, met en évidence l'objet de la pûjâ, qui désigne l'adoration de l'image, rite quotidien, privé ou public, effectué devant la statue d'une divinité. Dans le présent contexte, c'est l'âtman, le Soi, l'âme, qui tient lieu de divinité. Il est clair que le mot pûjâ, tel qu'il est employé ici, renvoie plutôt à la forme intériorisée du rite, à la forme antarmukhî, laquelle se réfère au dhyâna, méditation.
La deuxième interprétation répond, en quelque sorte, à ces interrogations, en faisant surgir l'opposition mais aussi les corrélations qui existent entre le rituel et la mystique.
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Les Upanishad vol. 11-12-13-14. Publiée et traduite par Auteur : TUBINI (B.) Collection : Les Upanishad Volume : 11 Tome : 12 Numéro : 14 ISBN : 978-2-7200-0975-4 Prix : 15 €
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DescriptionLes Upanishad, texte et traduction sous la direction de L. Renou.
Atharvasira Upanisad:15 pages pour introduction et traduction et 5 pages de sanskrit en devanagari. Brahmabindûpanisad: 8 pages et 1 page pour le texte sanskrit en devanagari. Kaivalyopanisad : 10 pages pour introduction et traduction et 2 pages pour le texte sanskrit en devanagari. Sarvasaropanisad :10 pages pour introduction et traduction et 2 pages pour le texte sanskrit en devanagari.
Les Volumes XI, XII et XIV ont été réunis en 1 volume lors de la réimpression Dimensions : 13,50 x 21,20 x 0,4 cm Poids : 80 Lieu de parution : Paris Année de parution : 1952 Réimpression : 2003 Reliure : in-8° broché Pages : 64 Traduit par : TUBINI (B.) Traduit du : sanskrit
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Les Upanishads, dont douze ou treize en particulier terminent les Védas, contiennent des écritures philosophiques et métaphysiques traitant de la nature et du rapport de l'âme (atman) à l'esprit suprême Brahman. Le canon Muktika recense 108 Upanishads dont la composition s'étale de -800 à 1300 de notre ère. On distingue traditionnellement douze Upanishads majeures ou principales et quatre-vingt seize Upanishads mineures réparties en six catégories.
Les Upanisads anciennes, qui sont une douzaine, ont été élaborées au VIème siècle avant notre ère et dans les siècles antérieurs. Cette période correspond à la fin de l'époque védique, quand l'importance attachée aux dieux védiques et au sacrifice diminue, et la réflexion religieuse se porte sur la connaissance de brahman, essence transcendante, infinie, et son identification avec âtman, le soi. Le VIème siècle est l'époque de l'émergence du jainisme et du bouddhisme, une période de spéculation intense, où la discussion porte moins sur les actes associés au sacrifice que sur la connaissance authentique, mystique de la réalité ultime. Il est clair d'autre part - la Chândogya Upanisad le montre - que la discussion n'est pas restreinte au cercle des brahmanes, mais qu'elle s'étend à la classe princière. |
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La Sira Upanisad, " Upanisad principale " , " Tête " ou " Sommet " des Upanisads de l' Atharvaveda, appartient au groupe des " Upanisads Sivaites ". Ce sont celles où l'Être Suprême, l'Ineffable Brahman, est reconnu être Siva lui-même. Siva est l'Être Suprême que l'entendement humain ne peut atteindre.
Brahmabindûpanisad : La syllabe " Om " est le Brahman, l'Unique Réalité, mais aussi son symbole. Les trois voyelles et moments syllabiques de l'Om (A. U. M.) se résolvent dans la quatrième demi-syllabe muette que représente le point " bindu " de l'anusvâra. La Mândûkya-Upanisad enseigne que les trois premiers instants syllabiques correspondent aux états de veille, de rêve et de sommeil profond. Ces états affectent l'âme individuelle qui n'est autre que le Brahman, mais illusoirement réfléchi sur une individualité organique et psychologique.
Cette Upanisad a pour but d'enseigner la voie qui permet à l'âme individuelle de reconnaître sa véritable essence et de savoir qu'elle est le Suprême Brahman, ineffable, indifférencié, que le " bindu " symbolise. Cette voie est le Yoga.
Deussen situe cette Upanisad, entre les plus anciennes et Sankara.
Kaivalyopanisad : Unique Réalité, le Brahman omnipotent, qui est libre de toute relation, est absolu " Kevala ". L'âme incorporée trouve la délivrance en s'isolant dans sa nature essentielle qui a pour soi-même le Brahman suprême. Le Sage qui, par le renoncement à tous les objets du monde empirique, parvient à l'état d'isolement spirituel absolu qui a nom " Kaivalya " est un Kevalin. La Kaivalyopanisad enseigne donc au sage la voie du renoncement et de l'union avec l'Absolu. Elle appartient au groupe des Upanisad Sivaïtes de l'Atharvaveda, puisqu'en elle l'exercice de contemplation intérieure est fondé sur Siva, mais elle est un enseignement de Yoga.
La Sarvasâropanisad fait partie des Upanisad tardives qui groupaient et définissaient des concepts majeurs du Vedânta. De ces Upanisads, elle est la plus réputée.
Elle définit vingt-trois termes, ceux qui se rapportent à l'Âtman engagé dans la relativité et l'Âtman dans son essence absolue : Bandha " le lien ", Moksa " la délivrance ", Avidyâ " l'ignorance ", Vidyâ " la science ", les quatre états de l'Âtman (Veille, Rêve, Sommeil sans rêves, Quatrième Etat - la Mândûkyopanisad décrit également ces états), Les cinq enveloppes (Kosa) de l'Âtman (la Taittirîyopanisad les décrit aussi), Kartr " le sujet agissant ", Jîva " l'âme incorporée ", Pâncavarga " les cinq groupes ", Ksetrajna " le connaisseur du champ ", Sâksin " le Témoin ", Kûtastha " Celui qui occupe la plus haute place ", Antaryâmin " le Maître Intérieur ", Pratyagatman " l' Âtman interne ", Parâtman " l'Âtman Suprême ", Mâyâ " Mâyâ ".
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Les Upanishad vol. 15 et 20. Publiée et traduite par Auteurs : ESNOUL, KAPANI (Lakshmi) Collection : Les Upanishad Volume : 15 Tome : 20 ISBN : 978-2-7200-0977-8 Prix : 15 €
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DescriptionLes Upanishad, texte et traduction sous la direction de L. Renou.
Maitry Upanisad, publiée et traduite par Mlle Esnoul : 75 pages pour la traduction, 32 pages de texte sanskrit en devanagari. Atmapujopanisad, publiée et traduite par Mlle Lakshmi Kapani : 16 pages dont 1 de texte devanagari et transcription.
Les Volumes XV et XX ont été réunis en 1 volume lors de la réimpression Dimensions : 13,50 x 21,10 x 1,1 cm Poids : 160 Lieu de parution : Paris Année de parution : 1974 Réimpression : 2005 Reliure : in-8° broché Pages : 128 Traduit par : Mlle Esnoul, Lakshmi Kapani Traduit du : sanskrit
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Les Upanishads, dont douze ou treize en particulier terminent les Védas, contiennent des écritures philosophiques et métaphysiques traitant de la nature et du rapport de l'âme (atman) à l'esprit suprême Brahman. Le canon Muktika recense 108 Upanishads dont la composition s'étale de -800 à 1300 de notre ère. On distingue traditionnellement douze Upanishads majeures ou principales et quatre-vingt seize Upanishads mineures réparties en six catégories.
Les Upanisads anciennes, qui sont une douzaine, ont été élaborées au VIème siècle avant notre ère et dans les siècles antérieurs. Cette période correspond à la fin de l'époque védique, quand l'importance attachée aux dieux védiques et au sacrifice diminue, et la réflexion religieuse se porte sur la connaissance de brahman, essence transcendante, infinie, et son identification avec âtman, le soi. Le VIème siècle est l'époque de l'émergence du jainisme et du bouddhisme, une période de spéculation intense, où la discussion porte moins sur les actes associés au sacrifice que sur la connaissance authentique, mystique de la réalité ultime. Il est clair d'autre part - la Chândogya Upanisad le montre - que la discussion n'est pas restreinte au cercle des brahmanes, mais qu'elle s'étend à la classe princière. |
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La Maitri, appelée aussi Maitrâyanî Upanisad, appartient au Yajur Veda Noir et a dû paraître dans une école des Maitrâyana ou Maitrâyanîya. On la tient pour la plus récente des Upanisad anciennes; elle semble faire partie de la même strate que la Prasna et la Mândûkya Upanisad, à tout le moins dans ses parties les plus anciennes, car vraisemblablement elle n'est pas de composition homogène : à un texte primitif relativement court et serré on aurait ajouté postérieurement de longs développements où se rencontrent pêle-mêle un nombre considérable de notions dont certaines sont de date assez récente.
Cette dernière série des Upanisad anciennes qui comprend aussi la Prasna, la Mândûkya et la Svetâsvatara a dû être rédigée au moment où apparaissait le bouddhisme et où le Sâmkhya et le Yoga épiques, tous deux issus d'une déjà longue tradition, étaient peu à peu systématisés et se modelaient en une forme classique; c'est aussi l'époque, sans doute, où était composée la Bhagavad Gîtâ si imprégnée de l'une et l'autre discipline.
La Maitri Upanisad a, en quelque sorte, rajeuni de vieilles traditions upanisadiques en y incorporant des notions empruntées aux systèmes nouvellement apparus ou en voie de se préciser. En même temps, il lui arrive fréquemment d'introduire dans ses développements des notions mythologiques ou astronomiques qui seront, par la suite, si familières aux textes purâniques.
Il y avait dans l'école des Maitrâyana une Samhitâ de ce nom, divisée en 4 kânda dont chacun se subdivisait en un certain nombre de prapâthaka ; on a voulu parfois considérer la Maitri Upanisad comme un 5e kânda de cette Samhitâ.
L'Atmapujopanisad figure dans la série intitulée Unpublished Upanishads. L'éditeur de ce recueil la classe parmi les Sâmanyavedânta Upanisad, parmi les Upanisad, donc, qui relèvent du fonds commun du Vedânta. Il faut remarquer toutefois qu'elle contient des éléments yogiques et qu'elle à pour sujet le râjayogin, l'adepte du râjayoga, "voie royale de réintégration".
Quant au titre de l'Upanisad, âtmapûjâ, on peut l'interpréter de deux façons : " Upanisad de l'adoration du Soi " ou " Upanisad de l'adoration et du Soi ". Cette analyse du titre nous aide à éclairer le texte lui-même. La première interprétation, en effet, met en évidence l'objet de la pûjâ, qui désigne l'adoration de l'image, rite quotidien, privé ou public, effectué devant la statue d'une divinité. Dans le présent contexte, c'est l'âtman, le Soi, l'âme, qui tient lieu de divinité. Il est clair que le mot pûjâ, tel qu'il est employé ici, renvoie plutôt à la forme intériorisée du rite, à la forme antarmukhî, laquelle se réfère au dhyâna, méditation.
La deuxième interprétation répond, en quelque sorte, à ces interrogations, en faisant surgir l'opposition mais aussi les corrélations qui existent entre le rituel et la mystique.
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